Si la qualité de la série est toujours aussi constante, je vais finir par beaucoup rabâcher. Ah, quel plaisir de regarder tranquillement de bonnes séries qui ne vous font pas perdre votre temps et qui parviennent à rester solide non-stop. Voici un épisode qui nous parle de la liberté d'expression, qui révèle des secrets et intensifie le conflit entre le nouveau et l'ancien procureur, avec bien sûr Alicia au milieu de tout. Et un cast parfait.
Toute la partie avant le générique est un modèle de réalisation, de montage et de rythme, et m'a littéralement emporté. Si bien que malgré une fin un peu légère comparé à l'ampleur du proçès, cette histoire de présentateur télé qui s'amuse à diffamer de pauvres gens m'a passionné. Voir le père récupérer sa fille était peut-être de trop dans la guimauve, mais le rire de Diane en apprenant qu'elle est lesbienne était géniale ! Quand à Will, il parvient à rester toujours aussi mystérieux, tout en se tapant de jolies avocates de la défense dans de luxueuses chambres d'hôtels ! Oh et toutes ces révélations faîtes par la femme de Child à Alicia, et ce duel entre Peter et Glenn en prison, c'était jouissif et je vais me lancer dès maintenant dans la suite !
Juste un truc pour terminer : le sourire figé de Cary m'agace et j'espère que Kalinda va bien vite y remédier et le décoincer un peu !
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