Une courte chronique concernant ce deuxième épisode, qui m'a un peu plus convaincu que le season premiere. Au compte goutte, on déroule le fil des intrigues et on en sait plus sur ce qui s'est passé durant ces quelques mois. De nouvelles intrigues sont lancés, comme par exemple celle concernant le père de Betty, qui vient habiter chez les Draper. L'irruption de la belle famille de Don était bien traité, mais je n'arrive pas à me faire au nouvel interprêtre du jeune Bobby (heureusement qu'ils n'ont pas touché à la géniale Sally !). Don se montre plein de compassion envers son beau-père et ferme avec son beau-frère. Sans concessions. Un esprit de famille qu'on ne lui connaissait pas. Bon, ça ne l'empêche pas d'être en admiration devant la maitresse d'école de ses enfants, dans une scène très poétique.
Qui nous rappelle "Bye Bye Birdie", au centre de l'épisode, et au coeur du projet de Peggy. Mais son idée ne plait pas à Don, et pour une fois, la jeune femme n'a pas l'approbation de son supérieur. Elle se montre également jalouse de Joan (et on la comprend) et pars flirter avec un inconnu dans un bar. Où est passé la Peggy à la foi retrouvée qu'on avait laissé en fin de saison 2 ? Des retrouvailles Peggy/Pete ne sont pas prête d'arriver en tout cas, ce dernier est trop occupé à concurrencer Ken et à réprimander Paul, le "gauchiste radicale". La campagne concernant le Madison Square Garden est bien traité et c'est bien de se recentrer sur ses intrigues "professionnelles".
Par contre, le nouveau patron n'est toujours pas convaincant. Pryce ne sait même pas lui-même pourquoi les anglais ont rachetés Sterling & Cooper. Son flegmatisme est pesant et je ne vois toujours pas à quoi à servi ce rachat pour l'instant (mais ça viendra, assurément). Surtout que Roger et Cooper ne sont plus d'une grande utilité et qu'on est toujours sans nouvelle de Duck Phillips.
On a également Roger qui voit d'un mauvais oeil le mariage de sa fille alors qu'il va lui-même se marier à une femme qui pourrait être sa fille. Pas beaucoup de Salvatore ou d'Harry et encore moins de l'autre anglais, qui a déjà disparu. Tout va très doucement, mais comme d'habitude, je me laisse captiver par l'ambiance, le charme du cast et la réalisation soignée. Même si pour l'instant, il manque un je ne sais quoi.
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