COLD OPEN / Les séries, c'est comme la vie (je vous mets au défi de débuter une introduction avec quelque chose de plus convenu). Tous les jours, il y a en a qui voient le jour, d'autres qui disparaissent. Des rencontres qui marquent plus que d'autres. Et c'est un cycle interminable qui a débuté avant vous et se poursuivra après vous. Breaking Bad m'a accompagné pendant cinq années et a disparu de ma vie dimanche dernier. Pourtant, dès le lendemain, je la trompais déjà avec d'autres favorites, qu'il s'agisse de Masters Of Sex (je n'en parle pas ici mais le second épisode est tout aussi excitant que le pilote) ou de The Good Wife (j'en parle ici et le season premiere est une merveille). Bien sûr, la série de Vince Gilligan m'a hanté toute la semaine et continuera de me hanter pendant encore longtemps. Mais les séries c'est comme la vie et la vie continue.
LE TOP 3
1) Breaking Bad S05E16 Felina / Trop parfait. Pas assez dur avec Walt. Trop fan-service. Pas assez vraisemblable. Le monde se déchire autour de "Felina" et moi je reste sur ma position. "Ozymandias" et "Granite State" restent les deux épisodes les plus forts de la série. Mais "Felina" est un épilogue hautement satisfaisant et parfois, ça fait du bien d'être satisfait. J'invite ceux qui sont d'accord avec moi à lire ma longue rétrospective et j'invite les autres à venir me contredire.
2) The Good Wife S05E01 Everything Is Ending / Magistral. Et je pèse mes mots. Poursuivant son quasi sans fautes qui dure depuis janvier dernier, The Good Wife revient en grandes pompes. Pas une minute à jeter dans ce season premiere qui donne l'impression de durer à peine vingt minutes tellement c'est enlevé et excitant. L'ambiance de renaissance, appuyée par une bande-son enivrante et ce nouveau départ pour Alicia et Cary, les guest-star qui continuent leur incroyable défilé (bienvenue à Melissa George et Jeffrey Tambor), un David Lee en forme et surtout, une histoire de couloir de la mort sans temps morts (haha) et vraiment poignante. Même si ça sent toujours un peu l'ennui du côté de Zach et Grace, rien ne vient gâcher le plaisir. Même Kalinda a la classe de rester en retrait et c'est comme ça que je la préfère. The Good Wife brille par son énergie et prouve sans plus tarder qu'elle est la série de network sur laquelle on va de nouveau pouvoir compter. Une renaissance et surtout, un âge d'or qui ne semble pas vouloir s'arrêter. L'arc Argos/Florrick est en tout cas prometteur...
3) Eastbound & Down S04E01 Chapter 22 / "The only drug I get off on is my wife and kids, and I get f*cked up on that every single night..." Les trois premières saisons formaient un tout tellement géniale que j'étais un peu inquiet à l'idée de cette renaissance ultime pour Kenny Powers. Que pouvait-on bien nous raconter de neuf sur le personnage ? Ce 22ème chapitre m'a donc largement rassuré et ce fut un immense plaisir de retrouver Danny McBride crever de nouveau l'écran. Suivre un Kenny à la vie rangée est une idée qui fonctionne, apporte un peu de nuance au propos et continue de faire de cette série un savant mélange d'hilarité et d'émotion. Tout comme Sudeikis dans la troisième saison, Ken Marino est tout à fait à l'aise dans ce registre et j'ai hâte de retrouver Stevie. Ce qui m'a fait le plus rire ? Le favoritisme de Kenny pour sa fille et son monologue de démission. La réalisation et la bande-son sont toujours impeccables et il y a donc des chances de retrouver à plusieurs reprises cette comédie sous-estimée en bonne place de ce classement.
LE FLOP
Trophy Wife S01E02 Cold File / J'ai regardé la scène d'ouverture où seul le décolleté de Malin Ackerman m'a tenu éveillé (désolé). Et puis le générique est arrivé. Et... Non. Je dois déjà me taper celui de The Mindy Project depuis que j'ai décidé de poursuivre ma relation amour-haine avec Mlle Kaling et je ne pourrais pas en encaisser davantage. Les affiches promos des nouvelles comédies de la saison rivalisent de laideur et le générique de Trophy Wife, c'est un montage de photos laides pour bien nous expliquer qui est qui dans la série. Pour bien nous expliquer que l'agent de Bradley Whitford est un incapable et veut juste humilier son client. Voilà donc où s'arrête mon visionnage de la série : au générique.
LE PILOTE
Hello Ladies S01E01 / J'aime bien Stephen Merchant. On lui doit quand même The Office, Extras et le Ricky Gervais Show (je préfère ne pas compter Life's Too Short). Il m'a toujours apparu sympathique et sa discrétion comparée aux excès parfois bien relous de son collègue Gervais (j'ai enfin décidé de ne plus le suivre sur Twitter et je crains le retour de David Brent) m'a fait préserver mon estime pour son travail. Le problème, tout comme Gervais, c'est que son travail, il n'a pas trop évolué depuis que je le connais. L'humour embarrassant ("cringe-worthy" comme on dit) est sa marque de fabrique et il a un véritable savoir-faire mais à force d'explorer ce courant depuis dix ans sans vraiment l'amener autre part, on se lasse un peu. Gervais a essayé d'aller voir ailleurs avec Derek et, ironiquement, c'était le truc le plus embarrassant que j'ai pu voir depuis longtemps. Alors avec Hello Ladies, série dérivée de son spectacle en solo et diffusé sur HBO, Stephen joue la sécurité, le confortable, le terrain qu'il connaît bien : un personnage central bourré de défauts qui se lance dans une quête d'admiration et d'attention en entraînant dans sa course un tas de situations embarrassantes autour de lui (ça ne vous rappelle personne ?).
Le postulat de départ est donc hautement éculé : un looser qui cherche l'amour. En une demi-heure, on pense à tout les antécédents de Merchant mais aussi (et c'est moins glorieux) à Entourage ou Frank Dubosc. Si on enlève le budget HBO avec sa réalisation léchée, sa bande-son classe et son casting pas trop mal (Kevin Weisman par exemple et le type de M. Sunshine qui est largement plus supportable que d'habitude, voir touchant), si on enlève tout ça, on se retrouve avec une sitcom très traditionnelle et sur laquelle Chuck Lorre n'aurait pas craché. Alors qu'est ce qui fait la différence et m'encouragera à revenir la semaine prochaine ? Et bien j'ai ri tout simplement. Et Stephen Merchant mérite d'être sous les projecteurs grâce à sa sympathie et son allure si particulière. Même si je peux déjà prédire que Stuart finira avec sa colocataire d'ici la fin de la saison, le divertissement est assez solide pour que j'ai envie de voir ça. Sans crier au génie. Sans applaudir. Juste pour faire un bout de route avec l'ami Merchant sans supporter l'ami Gervais, devenu presque infréquentable... Et franchement, j'ai une excellente tolérance au "cringe-worthy" et pas beaucoup l'occasion de rire cette saison...
ET AUSSI
Brooklyn 99 S01E03 The Slump / La sauce prend. Franchement, je n'ai pas grand chose à redire sur cet épisode qui tient bien la route, garde un rythme constant, m'a fait sourire à de multiples reprises et utilise pour la première fois le cast de la série de la bonne manière. Même Gina et Rosa, les deux boulets des épisodes précédents, sont hautement supportables et laissent entrevoir un potentiel de rédemption. Même si la formule et certaines situations sont encore très proche de ce qu'on a pu voir dans les anciennes séries de Michael Schur et Dan Goor, il y a largement moyen avec le temps (à l'image de Parks & Rec) de voir Brooklyn 99 trouver sa propre personnalité. Au vu de cet épisode, elle a les clés en main et prend la tête cette semaine des nouvelles comédies de la saison en terme de qualité.
Childrens Hospital S05E10 Blaken / Pour prouver la drôlerie de la série, il suffit chaque semaine de résumer ce qu'il s'y passe : Owen présente une émission de télé produite par Sy et part en direct à la rescousse de Blake, devenu un esclave sexuel sous cocaïne, Chef a le mal du pays (“I’m so homesick I could eat a house!”) et Glenn a construit un hélicoptère téléguidé qui pète. Et l'hélicoptère qui pète devient une série télévisée à succès. Et la saison se termine. Et c'était du grand n'importe quoi et ceux qui ne regardent pas encore Childrens Hospital se privent vraiment de quelque chose. Et pas seulement d'un hélicoptère qui pète...
HIMYM S09E03 Last Time In New York / Sympathique épisode où le concept de cette ultime saison tient toujours la route, où on sourit en coin (on ne rit plus depuis longtemps ici) et où Barney et Robin sont ceux qui s'en sortent le mieux. Bien sûr, il y a de quoi s'agacer devant un Ted devenu une caricature de lui-même ou face à des running gags qui testent notre patience (n'est-ce pas Linus ?). Mais dans le genre gentille comédie chaleureuse et qui se regarde toujours d'un oeil bienveillant, il n'y a pas de quoi cracher dans la soupe.
Homeland S03E01 Tin Man Is Down / C'est avec deux fois moins d'excitation que l'an dernier que j'attaque la troisième saison d'Homeland. On le sait tous : la deuxième avait très bien débuté avant de partir en vrille à la mi-saison et de se conclure en mode 24. La reprise s'en sort bien, malgré quelques maladresses et une tendance un peu inquiétante à passer beaucoup de temps avec Dana Brody. L'absence de Damian Lewis permet de mettre en avant Saul (et c'est Patinkin qui fait toujours le meilleur boulot ici) et Claire Danes a l'occasion de jouer autre chose que l'amoureuse éplorée (même si je ne vois vraiment pas comment elle peut continuer à bosser pour la CIA). On se concentre donc avec cet épisode sur une agence qui se reconstruit et tue les méchants, tout en gérant plutôt habilement les égarements de l'an passé. Mon conseil : être aussi confiant que prudent. Me voilà en tout cas de nouveau intrigué.
IASIP S09E05 Mac Day / Souvent dans l'ombre de ses petits camarades, Mac méritait bien son épisode. Avec "Mac Day", on découvre l'origine du personnage, de son homosexualité refoulée et de son amour pour le karaté et la sécurité. Seann William Scott est parfait dans le rôle de son homologue campagnard et c'est toujours aussi bon de voir le manque de loyauté et de concentration du gang, surtout quand ils se mettent à fumer de l'herbe (probablement pour la première fois !). Comme d'habitude, on se demande pourquoi ces types-là se côtoient et en même temps, on sait que personne d'autre ne pourrait les supporter. En tout cas, la leçon est retenue : ne pas faire de moto sans casque. En espérant assister prochainement au Dennis Day ou au Charlie Day.
New Girl S03E03 Double Date / J'avais lu quelques critiques réservées concernant cet épisode et c'est pourtant celui qui m'a fait le plus rire de la saison (pour l'instant). Les goûts sont dans les couleurs. Si la semaine n'était pas aussi chargée, il aurait même pu figurer dans mon top 3 tant le rythme est effrénée, les one-liners hilarants sont distribués à la pelle et tant la résolution du triangle amoureux un peu lourdingue avait le mérite d'être à la fois émouvant et drôle (sans donner raison à Schmidt, heureusement). Toujours dans son petit monde, Winston continue de briller (à mon sens) grâce à Lamorne Morris en totale roue libre. Il ne faudrait pas toujours rester dans le même registre sous peine d'être lourd mais pour l'instant, ça fonctionne. Et si Nick et Jesse peuvent continuer à être aussi adorables tout en étant autant eux-mêmes, le pari est gagné. D'ailleurs, j'ai réalisé un truc. Nick Miller = Charlie Kelly : "I'm not convinced I know how to read, I've just memorized a lot of words." (et Schmidt n'est pas si loin d'une fusion entre Mac et Dennis).
Parks & Recreation S06E03 The Pawnee-Eagleton Tip Off Classic / Après un season premiere solide, Parks & Rec enchaîne d'emblée avec un nouvel arc narratif qui n'est pas sans rappeler dans la forme la fusion entre les branches de Scranton et Stamford dans The Office. Sauf que là, il s'agit de la fusion entre Pawnee et Eagleton et que la toujours bienvenue Kristen Bell est de la partie (mini-réunion Party Down !). La rivalité entre les deux villes a toujours été un running-gag efficace et je ne suis jamais contre un bon vieux arc feuilletonnant pour changer un peu la formule. Cela dit, avec les intrigues électorales des deux dernières saisons, je n'ai pas une énorme confiance en la série pour réussir ce genre d'exercice. Elle l'a fait par le passé avec le Harvest Festival alors je ne vais pas pleurer avant d'avoir mal mais espérons que ça ne s'éternise pas. Tant que c'est l'occasion de bousculer un peu la routine et de découvrir de nouveaux personnages hauts en couleur, ça devrait aller. Cet arc est également l'occasion de préparer, avec plus ou moins de finesse, la future sortie de Chris et Ann. Et il est grand temps car franchement, Rashida Jones peine de plus en plus à justifier la présence de son personnage. Comme d'habitude, c'est à Ron que l'on doit les vraies sourires de l'épisode et j'ai hâte de voir à quoi va ressembler sa relation avec les rescapés d'Eagleton...
SNL S39E01 Tina Fey-Arcade Fire / Cette 39ème saison, c'est forcément la promesse d'un nouveau départ. C'était pas facile de se séparer en même temps de Fred Armisen, Bill Hader, Andy Samberg, Jason Sudeikis et bientôt de Seth Meyers, mais c'est comme ça et il est temps de passer à autre chose. Sauf que SNL, c'est une formule qui change peu et quand on invite Tina Fey pour débuter la saison, c'est aussi par sécurité. Alors rien de fondamentalement neuf ou de transcendant dans cet épisode, même si ça fait plaisir de voir que la sauce prend encore à l'occasion. Tandis que Kenan Thompson est un vétéran qui n'a plus grand chose à offrir, Bobby Moynihan et Taran Killam sont les nouvelles valeurs sûres sur lesquelles je vais pouvoir compter (le Drunk Uncle est toujours le bienvenu). Cecily Strong a fait du boulot honnête pour son premier Weekend Update et les nouvelles recrues, encore un peu anonymes, me semblent avoir plus de personnalité que ceux de l'an dernier. Noël Wells a déjà eu l'occasion de briller avec son imitation parfaite de Lena Dunham et l'énergie de tout le monde était la bienvenue pour cette reprise. Arcade Fire et les caméos d'Aaron Paul n'ont rien gâché à mon plaisir, bien au contraire. Donc voilà, malgré une Tina Fey qui n'apporte pas grand chose, un cold open bien trop long et l'inégalité de l'ensemble, pas de quoi être trop inquiets à l'aube de cette 39ème saison. Et pas de quoi s'attendre à un renouveau non plus.
Sons Of Anarchy S06E04 Wolfsangel / Moi non plus, je n'ai rien vu venir. Encore un bain de sang de la part de Kurt Sutter. Qui suicide son personnage (dont on avait clairement fait le tour de toute façon) et celui le plus absurde qu'il avait créée à ce jour. Même si ça va permettre à Donal Logue de trouver un rôle à sa hauteur, j'ai vraiment l'impression d'avoir bien perdu mon temps à suivre la folie vengeresse de Lee Toric (et je peux faire une croix sur une mini-réunion Terriers désormais). De l'auto-destruction inattendue et qui me laisse perplexe mais pour la première fois depuis le début de la saison, un épisode où on ne s'ennuie pas. Car les pertes s'enchaînent. Celle de Tig est déjouée avec malice pour mieux s'acharner sur les (plus si) nouvelles recrues. Et jamais je n'aurais vu autant d'exécution en règle de néo-nazies que cette semaine. Au moins, Unser s'en sort. Mais le danger vient de partout, tout le monde est dans la merde et Clay en ressort gagnant. Le monde à l'envers et enfin un peu de surprise sans avoir à attendre la moitié de saison. La violence gratuite est au rendez-vous certes, mais aussi débile et testostéroné qu'il soit, le divertissement est de retour.
The Michael J. Fox Show S01E03 Art / Bien que les deux premiers épisodes m'ont plutôt séduits, je réalise avec celui-ci que j'ai deux problèmes majeurs avec la série : 1) les confidences face caméra. Elles étaient justifiés lors du pilote grâce au projet scolaire d'Eve, mais elles n'ont désormais plus aucun sens, si ce n'est capitaliser sur la formule de Modern Family. De la paresse scénaristique qui m'agace au plus haut point. 2) Même chose pour la manière dont chaque épisode se termine sur une petite leçon. Je n'ai rien contre les bons sentiments, surtout dans une comédie familiale, mais les voix-off qui réunissent toutes les intrigues de l'épisode dans une conclusion mielleuse, j'en ai assez. Alors voilà : j'aime toujours l'énergie de Michael J.Fox et d'un cast qui s'en donne à coeur joie, je souris toujours à l'occasion mais si ces deux procédés insupportables n'évoluent pas, ma patience aura des limites que même Wendell Pierce ne pourra arranger...
The Mindy Project S02E03 Music Festival / Je ne sais pas si c'est à cause de mes problèmes avec la série, du changement de casting permanent ou du fait que Mindy ne sait toujours pas trop ce qu'elle veut nous raconter, mais les tentatives émotionnelles que tente "Music Festival" n'ont aucune emprise sur moi. Tout ce que je vois dans la rupture entre Mindy et Casey, c'est le contrat d'Anders Holm qui s'achève et un nouveau retour au départ pour la vie sentimentale de notre héroïne. Tout ce que je vois dans la présence de The National, c'est l'envie de s'amuser à tourner dans un festival et d'avoir un joli montage final avec un groupe que j'aime beaucoup. Tout ce que je vois dans la présence du type d'Happy Endings, c'est une addition au casting dont j'ai encore du mal à saisir tous les prénoms au bout de 27 épisodes (le britannique qui a grossi ? la réceptionniste coincée ? la vieille excentrique ? la black sassy ? ils manquent tellement d'identité que j'ai honnêtement oublié leurs prénoms...). Malgré tout, j'aimais bien Casey et j'ai hâte de revoir Anders Holm dans Workaholics. Malgré tout j'aime toujours Danny quand les scénaristes ne sont pas occupés à préparer une future romance avec Mandy. Malgré tout, je continue de regarder la série car c'est un joyeux bordel à la médiocrité réconfortante et qui sait me faire sourire à quelques occasions.
LA RÉPLIQUE
"What is this, West Side Story?" - Alicia Florrick [The Good Wife, 5x01]
ER (Saison 20)
Où j'imagine à quoi aurait pu ressembler la 20ème saison d'ER, qui aurait été diffusée sur NBC lors de cette saison 2013-2014. C'est de la fanfiction facile et ce sera le fil rouge du dimanche, car un dimanche sans ER, c'est pas un dimanche.
20x03 I Fought The Law / Un spin-off avec The Good Wife ! Depuis l'accident dans le métro (cf. 20x01), Claudia est dans le coma et cela affecte sérieusement Morris, qui décide pourtant de reprendre le travail. Mais il est à l'origine d'une grave erreur médicale qui pourrait bien entacher la réputation du Cook County. Le docteur Anspaugh fait alors appel à la firme d'avocats Lockhart & Gardner pour les protéger et les défendre lors du procès. Tandis qu'une certaine Kalinda vient suivre le quotidien des médecins et ne laisse pas le docteur Brenner indifférent, Cary prépare Morris à son combat juridique. On découvre finalement que le jeune avocat n'est pas désintéressé et veut en mettre plein la vue au patient de Morris dans l'espoir qu'il devienne client de sa nouvelle firme, Agos/Lockhart. Déçu par cette manipulation, Morris n'a pourtant pas d'autre choix que de se laisser faire, sous peine de renvoi. Dans une courte scène, Carter croise Alicia Florrick dans la salle de repos des urgences. Une scène sans dialogues où on a l'impression que les deux personnages se sont connus dans une autre vie... À la fin de l'épisode, avec le soutien de Brenner, Morris accepte de débrancher Claudia et de la regarder mourir. Plus tard, Cary vient s'excuser mais le médecin est inconsolable...
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