2.04 Rosemary's Baby


Résumé de l'épisode : Lorsque Liz rencontre Rosemary Howard, une ancienne scénariste dont elle est une grande fan, elle lui propose de jouer les guest-writer dans son show. Mais les idées de Rosemary sont trop osées pour l'émission et Jack ordonne à Liz de la renvoyer. Finalement, Liz est également renvoyée et Rosemary décide de la prendre sous son aile et de redémarrer une nouvelle émission avec elle. Mais lorsque Liz découvre la misérable vie de la vieille femme, elle préfère fuir et supplier Jack de lui redonner son emploi...

Afin de calmer les folies de Tracy, Jack l'envoie chez un thérapiste, qui lui fait revivre son enfance difficile. Quand à Jenna, elle détruit par inadvertance la veste de groom de Kenneth, et se retrouve alors plongé dans un combat de groom...

Mon avis : Alec Baldwin est un génie comique. Un génie imprévisible, capable de frapper au détour de n'importe quelle réplique. Avec cet épisode, et tout particulièrement la scène où il fait revivre à Tracy son enfance difficile en jouant de nombreux personnages, il m'a littéralement fait exploser de rire, et illumine un épisode un peu mou du genou.

Parce que oui, cet épisode était très sympathique, mais un peu inégale. Le combat de groom opposant Kenneth à l'autre fou aurait mérité d'être plus exploité, afin que l'on voit réellement l'affrontement. L'histoire de Liz et Rosemary est touchante mais la fin est peu originale et voir Liz supplier Jack de lui redonner son emploi est un peu triste. Et encore une fois, on ne voit pas tellement les personnages secondaires et Pete est limite transparent, alors qu'il est au générique.

Mention spéciale à Carrie Fisher (anciennement la Princesse Leïa) qui joue à merveille une retraité qui en veut ! Excellent aussi le jeune Jonathan, le secretaire de Jack, complétement dévoué à la cause de son maître !

Bref, mis à part quelques faiblesses, l'épisode se laisse quand même voir avec un plaisir non contenue, tant Alec Baldwin et Tina Fey forme un duo fabuleux, plein de charme et de fraîcheur. Je ne m'en lasse pas !

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