Jack Donaghy est un Dieu. Cet homme a la réponse à tout et si jamais il devait écrire un livre de citations et d'inspiration, je l’achèterais volontiers. Dans cet épisode, forcément réussi puisqu'Alec Baldwin est au centre de plusieurs intrigues, Jack doit s'occuper des problèmes successifs de Liz, Kenneth et Tracy, qui sont comme des réactions en chaîne que lui seul et sa sagesse peut stopper. Jusqu'à ce que ses propres problèmes d'identité resurgisse dans une scène mi-absurde, mi-touchante, où il retombe en enfance et récite fièrement sa pièce d'apprenti scientifique.
Ca peut sembler étrange pour ceux qui n'ont pas vu l'épisode que d'en lire un résumé. Parce que les situations absurdes s'enchaînent : Liz qui se confie à Godzila, Tracy et son fils plus vieux que lui, Kenneth et son père-animal, Jenna et son double masculin. Mais à aucun moment, l'épisode n'est absurde. Non, il est bien construit, drôle, solide, bref, les scénaristes parviennent vraiment à tirer le mieux de leurs idées débiles. C'est dans ces moments là que j'aime vraiment le show et qu'il a vraiment une part d'originalité. Quand il parvient à canaliser délires scénaristiques et psychologie des personnages. Et comment résister à Will Forte dans le rôle de l'amant de Jenna !
J'aurais aimé terminer en citant les meilleures répliques, mais elles sont trop nombreuses, des piques à Obama jusqu'à la description du couple idéal par Jenna !
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