Maintenant que je suis sur Twitter, je peux m'amuser à publier en direct mes commentaires concernant les épisodes que je regarde. En direct. Avec beaucoup de légèreté. Alors comme j'ai déjà regardé cet épisode il y a une semaine et que je n'ai pas la force de me lancer dans la dissertation habituelle au sujet de Raylan et de ses copains, voici quelques extraits de mes réactions. En différé.
- Tant qu'elle porte cette nuisette, Winona n'est pas un problème pour moi.
- L'intro donne le ton. L'impression de regarder Breaking Bad.
- Raylan a bouffé un clown. Bullock aimait pas trop ça le clown, alors ça change.
- Deux épisodes et demi sans voir Art. Je commence à m'inquiéter.
- C'est bon signe quand chaque perso d'une série mérite son spin-off. Je vois bien Boyd et Ava dans un truc à la Bonnie & Clyde.
- Il ressemble un peu à Jimmy Smiths le gardien de prison, non ?
- Je suis en train de shipper sur Raylan et l'infirmière... C'est mal ?
- "You mean I had four kidneys?" Dewey Crowe...
- Malgré le twist, mon ship pour Raylan et la blonde tient toujours. "Cute as a pailful of kittens"
- La scène la plus jouissive de l'épisode suivie par Art qui débarque. Que du bonheur !
Navré pour ceux qui espéraient une longue chronique pleine de pertinence, j'ai donc misé sur l'option de facilité. Aussi parce que cet épisode était le meilleur de la saison et qu'il m'a procuré un tel plaisir immédiat que j'aurais eu bien du mal à le retranscrire sous forme d'article, une semaine plus tard. J'ai ri, j'ai frémit et chaque personnage a eu son moment de gloire, en particulier cet idiot de Dewey Crowe. La rencontre entre Boyd et Quarles est déjà anthologique. Et avec Winona qui déguerpit, Raylan va, je l'espère, reprendre le devant de la scène.
D'ailleurs, Ju en parle très bien dans sa dernière chronique sur pErDUSA. Même si je suis pas d'accord avec lui concernant Limehouse, car il est bien trop tôt pour tirer de telles conclusions.
Bien entendu, c'est la première et dernière fois que mon blog et mon compte Twitter se chevauchent ainsi. Faut pas déconner non plus. Le fumisme a ses limites.
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