5.14 The Perfect Week
Un épisode qui confirme ce que je disais au sujet du précédent. La série ne brille désormais que grâce à Barney, et uniquement lorsque tout les personnages sont réunis dans la même intrigue. Séparément, ces anecdotes auraient pu être fort ennuyeuses, mais combinés à la semaine parfaite de Barney, c'était fort amusant.
Surtout que Neil Patrick Harris est toujours excellent, et ne lasse toujours pas. Alors bien sûr, après l'excellent "The Playbook", c'était peut-être un peu poussif de le voir à nouveau dans ses exploits, mais comme l'épisode est convaincant, pas la peine de bouder son plaisir. Le concept du rêve avec le présentateur sportif fonctionne très bien, et la narration de cet épisode rappelle l'inventivité qui a fait le succès de la série, malgré son inconstance. Chaque personnage joue son rôle, avec son lot de caricatures, mais la sympathie inspiré par la bande d'amis fait oublier les défauts d'un tel épisode, et comme Barney, on crie victoire à la fin de ces vingts minutes inspirées. Dommage que cette cinquième saison soit aussi inégale...
5.15 Rabbit or Duck
Sympathique épisode qui utilise bien la folie de Barney, de la plus poussive des manières, mais c'est quelque chose qu'on peut se permettre avec un acteur au timing comique aussi impeccable que Patrick Neil Harris. Rythmée, cette intrigue n'apporte rien à la série, si ce n'est des scènes drôles et légères. Même chose pour les amourettes de Ted et de Robin (chacun de son côté hein, rassurez-vous), qui ne s'inscrivent pas dans la mythologie de la Mother, mais qui ont le mérite d'être bien inclus dans l'épisode, grâce à une narration et un montage efficace. Les interventions de Marshall et Lily ajoutent à la douce folie de l'ensemble et on passe un bon moment, en étant indulgent devant le jeu toujours aussi limité de Josh Radnor et à l'aspect répétitif des intrigues. Cette cinquième saison est décidément plus à l'aise avec des épisodes loners qui se suffisent à eux-mêmes et mettent Barney sur le devant de la scène, plutôt qu'avec des arcs maladroits et baclés (la relation Barney/Robin par exemple). Alors acceptons la série comme tel, et savourons ce genre d'épisode inoffensifs mais rigolo comme tout ! En même temps, après un marathon Scrubs 2.0. je suis peut-être un peu trop indulgent !
Commentaires
Enregistrer un commentaire