6.09 Glitter
Comme à chaque fois que la machine s'enraye et que les fans se divisent, les scénaristes ont recours à un vieux gimmick du passé. L'an dernier à la même époque, c'était le "Slap Contest" dans un épisode plus que navrant. Cette année, c'est au tour de Robin Sparkles, fantôme cartoonesque du passé canadien de Robin. Et le résultat est pas beaucoup mieux.
J'ai pas rigolé une fois. Et encore pire, je me souviens même plus d'avoir souri. Peut-être devant Marshall qui veut essayer l'orgue. Ou quand Barney énumère les différentes phrases d'accroches des reality-show. Le reste, c'était d'une lourdeur affligeante. Peut-être que certains fans aimeront le retour de Robin Sparkles et son tv show à double sens, mais moi, ça m'a semblé une tentative désespéré de jouer sur les mêmes blagues éculés plutôt que d'innover. Et ce n'est pas avec Ted qui devient témoin du mariage d'un ami sorti de nulle part que l'on va réveiller mon enthousiasme.
C'est dommage car les épisodes précédents étaient plus convaincant. Là, on retombe dans quelque chose d'assez triste à voir.
6.10 Blitzgiving
Un épisode sans temps mort, qui plutôt que de reposer sur les mêmes éternels gimmicks, en introduit de nouveaux.
Même si on peut encore se demander d'où sortent tout ces nouveaux amis qu'on nous présente depuis un moment, la présence de Jorge Garcia est une bonne chose tant son personnage apporte un peu de fraîcheur à l'ensemble. Le délire du "Blitz" est très bien exploité, juste ce qu'il faut pour ne pas devenir trop lourd et il m'a plutôt fait rire du début à la fin. Même Barney a l'occasion de changer de registre ! La querelle entre Ted et Zoey se regarde tranquillement, même si je commence à réaliser qu'elle ne sera pas la mère, et même si la fin sort un peu trop les violons.
En tout cas, c'était fort plaisant. Comme quoi, cette sixième saison n'est pas si mauvaise que ça ! Inégale certainement, mais mauvaise, pas encore !
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