"The Big Black Cock of...", euh non pardon, "The Black Clock of Time" est la meilleure demi-heure que j'ai passé cette semaine devant ma télé.
S'il n'y a pas de véritable enquête, ça n'empêche pas Jonathan Ames (le showrunner, pas le personnage) de construire quelque chose de structuré, autour du thème de la paternité. Jonathan est toujours à la recherche de son père biologique et il lui faudra passer par le Dick Cavett Show (le retour du présentateur vedette qui n'a plus vraiment d'émission à l'antenne) et affronter son nemesis Lewis pour trouver de nouveaux indices. John Hodgman est toujours une excellente addition à la série et sa moustache ne gâche rien ! De son côté, Ray a le droit à une intrigue aussi efficace que prévisible (combien de personnages se sont trompés de bébé dans l'univers des séries télé ?) et comme d'habitude, Zach Galifiniakis excelle dans ce registre, surtout lorsqu'il peint avec ses doigts en écoutant de la pop indé japonaise en fumant la pipe ! C'était sympa de le voir avec le petit Spencer depuis le début de saison mais on va pouvoir maintenant l'apprécier dans une intrigue différente. Quand à Ted Danson, il contiue d'illuminer tout ce qu'il touche, que ce soit face à sa névrosée de fille ou face à un chauffeur de taxi pakistanais. Et comme si on ne prenait pas assez de drogues dans Bored to Death, voici Jonathan et Ray accro à l'odeur des nouveaux-nés !
Fabuleux !
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