Adoptant une forme plus classique, cet épisode n'est pas moins convaincant.
Le thème du passage à l'âge adulte est toujours mon favori et le parcours de Sally Draper me touche toujours autant. Surtout quand elle est initié par Roger. Ce dernier, jeune divorcé, affiche une fraîcheur retrouvé et même si j'aurais pu me passer de Glenn, toute cette partie m'a enchanté. Même chose pour celle consacrée à Peggy, qui en plus de faire du sur-place au bureau, découvre que sa vie personelle et amoureuse est tout aussi frustrante, freinée ici par sa mère. Heureusement, Joan est là pour la réconforter et pour illuminer tout l'épisode. Nous avons également un beau portrait de famille dysfonctionnelle grâce aux parents de Megan, et notre cher orphelin témoin de toute cette rancoeur et témoin aussi d'un nouvel échec pour l'agence.
Voilà. Je n'ai pas grand chose de plus à dire sur cet épisode réussi. À part que, contrairement à la tradition, personne n'a vomi dans ce septième épisode...
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