DylanesqueTV S05E01

En ce moment, je traverse une période un peu déprimante. C'est dû au contre-coup post-tournage. Après avoir carburé pendant deux mois où chaque minute comptait, où chaque seconde était stimulante intellectuellement et émotionnellement, ce début d'automne est un peu triste. Heureusement, il reste les séries et le planning est plus chargé que jamais. Car plus la déprime guette, plus la télévision est un bon remède. Ce n'est pas elle qui va me permettre de m'activer de nouveau ou de sociabiliser davantage, mais elle soigne quand même pas mal de blessures. 


Et dans une semaine, BILLY va débuter et tout cela sera oublié (rendez-vous sur www.billylaserie.com, le site officiel récemment ouvert). Surtout que juste après la diffusion des premiers épisodes, je me lance dans une nouvelle aventure. Oui, déjà. Pas de temps à perdre. Une nouvelle série. 10 épisodes de vingt minutes. Ce sera pour l'été prochain. On en reparle. 

30 Rock 7x01

Un peu comme Jack qui sacrifie la grille des programmes de NBC, il semble que les scénaristes de 30 Rock ont abandonné toute ambition. Si cette ultime saison est à l'image de ce season premiere, on part dans de l'absurde complet, des sketchs qui s'enchaînent à la va-vite et des one-liners alignés sans véritable sens du timing comique. Si cette ultime saison est à l'image du personnage de Kristen Schaal et d'une Jenna qui se met à voler, ça risque de ne pas être le 30 Rock maitrisé et en grande forme qui m'a réconcilié avec la série ces deux dernières saisons. Mais il est difficile de prévoir quoi que ce soit après seulement un épisode car le charme de la série, c'est aussi d'être doucement idiot et imprévisible, tel un Tracy Jordan en roue libre. Il ne reste que treize épisodes alors ce serait dommage de se priver d'autant de fun, même s'il est inégale et moins bien foutu que d'habitude. 

Go On 1x05

J'avais cité quoi comme problèmes concernant le pilote ? Un manque d'équilibre entre ce qu'il se passe en thérapie et ce qu'il se passe en dehors de la thérapie, un Matthew Perry omniprésent ne laissant pas suffisamment de place au reste du cast, des personnages manquant de relief ou ne reposant que sur une particularité et un aspect mélo mal maitrisé. Cinq épisodes plus tard, je crains que ces problèmes n'ont fait qu'empirer et que je n'ai même pas eu l'occasion de vraiment m'attacher à qui que ce soit pour vraiment composer les défauts d'écriture et de structure. Les épisodes sont un gros foutoir qui part dans tous les sens et qui se finit toujours de la même façon. L'apparition du fantôme de l'ex-femme est un procédé très maladroit qui, espérons-le, ne sera pas récurrent. Et je ne supporte pas John Cho. Son amitié avec Perry m'apparaît complètement improbable. D'ailleurs, les relations entre les personnages, qui devraient être la force d'une série comme celle-ci, sont pour le moment forcés ou pas crédibles. Me connaissant, je risque de poursuivre au moins jusqu'à Noël, juste à cause de Matthew Perry, de l'arrivée prochaine de Lauren Graham en guest-star et d'un potentiel encore présent, qui n'attend plus qu'à être développer et rapidement. 

Homeland 2x01

Excellente reprise pour Homeland, qui avait intérêt à ne pas décevoir après la floppée d'Emmy qu'elle a reçue. Et un record d'audience pour Showtime ce qui sent déjà bon pour une annonce de renouvellement. Quand on sait que tenir sur la longueur n'est pas le point fort des séries de la chaîne, il y a de quoi être inquiété, surtout avec un sujet aussi peu enclin à la durée que celui d'Homeland. Je disais l'an dernier que j'aurais très bien pu me contenter d'une seule saison aussi réussie. "The Smile" me redonne confiance car on sent de la maitrise et de quoi tenir encore un moment. C'est un vrai plaisir de retrouver Claire Danes, Damien Lewis et Mandy Patinkin à l'écran dans un show aussi haletant, bien ficelé et divertissant, même quand les ficelles sont aussi grosses que la scène dans le bureau d'Estes. Carrie est toujours aussi attachante lorsqu'elle est fragile et la révélation de Brody à sa femme permet de faire avancer son intrigue sans perdre une minute, sans gagner de temps et se foutre de la gueule du public. Bien joué. 


How I Met Your Mother 8x02

C'est Carter Bays et Craig Thomas qui ont écris "Pre-Nup", le pire épisode de la série depuis très longtemps. Et c'est peu encourageant pour la suite. Oui, j'espère encore de bonnes choses de la part d'HIMYM et les mauvaises langues m'avaient prévenu, je suis déjà bien déçu. Ok, Quinn était insupportable, mais la faire dégager aussi rapidement et sur un prétexte aussi bidon, ça manquait singulièrement de classe et de cohérence. À force d'annoncer des choses comme "l'automne des ruptures" ou de teaser depuis bientôt un an sur le mariage Barney/Robin, la série est encore plus prévisible que d'habitude et ronronne de manière inquiétante. Même Bob Odenkirk n'est pas parvenu à éléver cet épisode pleins de tics énervants, de répliques lourdingues et de twists faciles. On n'a maintenant plus qu'à attendre gentiment que Robin dégage son mec pour épouser Barney, que Ted dégage sa meuf pour rencontrer la Mère et que tout se finisse bien...

Parenthood 4x04

Les habitués seront déçu de ne pas pouvoir lire ma traditionnelle chronique ultra-longue sur l'épisode de la semaine mais encore une fois, la semaine n'a pas été facile. Rassurez-vous, l'épisode est très réussi et la quatrième saison réalise pratiquement un sans-faute pour le moment. L'intrigue du cancer continue d'être développé sans maladresses, la mise en avant de Joel m'a réjoui et me fait oublier le jeu terrible du petit Victor (et l'aspect prévisible de l'intrigue) et l'apparition de Matt Lauria, encore un ancien de Friday Night Lights, dans le rôle du nouvel ami de Zeek m'a enchanté. La meilleure partie de l'épisode reste tout de même celle consacrée à Crosby et Jasmine et la manière dont ils doivent introduire l'héritage noir-américain à Jabbar. C'était finement écrit et très émouvant. Mais encore une fois, c'est du côté de Sarah que les choses sont moins enthousiasmantes : Ray Romano et Lauren Graham ont beau être toujours impeccables, on sent venir les scénaristes à des kilomètres concernant une romance qui nuit déjà à la crédibilité de cette jolie amitié naissante. Voir Sarah en compagnie d'Amber ou de Drew (qui a encore une fois disparu de la circulation) me manque en vérité. Mais sinon, oui, c'était de nouveau le meilleur moment passé devant mon écran cette semaine. 


Parks & Rec 5x03

Il aura donc fallu attendre la troisième semaine de la rentrée pour que les comédies de NBC reprennent du poil de la bête. Après un épisode convaincant de The Office, je suis heureux de retrouver un Parks & Rec en pleine forme. L'intrigue de Leslie permet de retrouver un Pawnee comme on l'aime en développant la personnalité des autres conseillers municipaux et en offrant quelque chose d'intéressant à Tom. Amy Poehler a pu briller sans retenue ("The perm must wait!") et c'est toujours un plaisir de revoir Joan. J'en ai même oublié l'absence de Rashida Jones. Lucy Lawless s'intègre parfaitement au décor et je suis très enthousiaste concernant sa romance avec Ron, qui débute dans un grand fou rire. Quand au duo Ben/April, il fonctionne toujours aussi bien et oui, Adam Scott est toujours aussi drôle en nerd incorrigible. L'épisode reposait sur des intrigues solides et pas seulement sur des caricatures ou des relations usés à juqu'à la corde. C'était raffraîchissant et encourageant. 

New Girl 2x03

Honnêtement, la reprise ne m'avait pas emballée. Pourtant, New Girl est étrangement la comédie que j'attendais le plus en cette rentrée. Oui, vous pouvez hurler, c'est pas des conneries. Je sais pas si ma mémoire flanche ou si j'étais plus fleur bleu que d'habitude au printemps dernier, mais la deuxième moitié de la première saison était quand même géniale. Du coup, le double season premiere m'a laissé sur ma faim car il retombait dans de vieilles habitudes de la série en faisant de Jess une caricature, en voulant en faire des tonnes avec un Schmidt redevenu célibataire et en sous-exploitant Nick et Winston. "Fluffer" était beaucoup mieux. Et pour cause : Nick est au premier plan. Et Nick Miller est devenu mon personnage de comédie favori. Il est facile de s'y identifier (trop peut-être) et il est facile de se marrer bêtement à chacune de ses répliques, sans jamais que Jake Johnson en fasse des tonnes. Maintenant, j'attends juste que Max Greenfield se calme un peu et que Winston ait le droit à deux minutes d'antenne pour crier de nouveau au génie. Mais autant vous le dire, je suis tout excité et toujours accro, navré de vous l'annoncer... 


Sons of Anarchy 5x04

Ce qui est arrivé à Opie en prison ne m'a pas autant ému que prévu. Il faut dire que les problèmes de ce début de saison m'empêchent vraiment de savourer la série comme il se doit. Je vois beaucoup d'entre vous prendre leur pied cette année et moi, je reste toujours un peu perplexe. Dans ma chronique du season premiere, j'ai longuement énuméré ce qui m'embête, et même si ça s'améliore tranquillement d'épisodes en épisodes, Kurt n'a pas regagné ma confiance. Les actions de Samcro manquent toujours d'impact, la montée en puissance de Tara versus la chute de Gemma me gonfle au plus haut point et la perspective d'un méchant aussi surpuissant que Pope n'annonce rien de bien novateur pour la suite. Alors en elle-même, la mort violente d'Opie n'était qu'une scène violente de plus dans ce qui est devenu une routine un peu fade. N'ayant plus grand chose à explorer avec le personnage, Kurt a décidé d'éliminer la caution morale de sa série, de manière bien froide et prévisible. C'est lors de sa veillée funèbre que j'ai pourtant été touché et que la série a réussi, l'espace d'un instant, à me rappeler pourquoi je la suis et qu'elle peut encore faire mouche avec un bon vieux montage musical. Et vous savez quoi ? Je trouve Jimmy Smiths très bon. Il apporte pas mal de fraîcheur à un show qui s'enfonce dans la noirceur et la redondance et Nero est juste ce qu'il fallait. Malgré tout, il m'en faudra plus pour être convaincu d'une soi-disant rennaissance... 


The Mindy Project 1x02

Alors que le pilote misait sur la comédie romantique, ce second épisode nous amène plutôt sur le terrain de la workplace-comedy. Terrain que Mindy Kaling connaît bien. Elle s'en donne à coeur joie, le reste du casting la suit avec le sourire, Seth Meyers vient même faire un petit coucou mais moi, j'avoue avoir du mal à m'intéresser à Mindy, ses querelles avec le médecin ronchon ou son nouvel infirmier (le russe dans Eastbound & Down !). Et pire : je n'ai pas ri. Et encore pire : Stephen Tobolowsky est mal utilisé. Là aussi, je vais faire preuve de patience car j'entrevois du potentiel et je me dis que Mindy va bien finir par trouver son rythme. Si ce n'est pas le cas, ça fera ça de moins à regarder dans la semaine et je m'en remettrais très rapidement... 

Treme 3x02

C'est étrange de regarder Treme à l'automne. Pour moi Treme, c'est des souvenirs de canicule, d'orages, d'étés torrides. Pour moi, une saison de Treme ça doit commencer en juin et se finir en août. Mais je ne vais pas bouder mon plaisir surtout que cette saison sera l'avant-dernière et qu'il faut savourer chaque moment passé à la Nouvelle-Orléans en compagnie de personnages qui m'avaient bien manqués. J'ai réalisé ça face au season premiere qui m'a réchauffé le coeur et replongé naturellement dans un show dont l'univers, la bande-son et l'ambiance en font toujours quelque chose d'unique, de coloré, de réconfortant. Et pour la première fois depuis le début de la série, chaque intrigue me captive, même celle d'un Sonny en plein rédemption ou d'un Hidalgo en pleine corruption immobilière. Les choses avancent doucement mais on a pas envie que ça aille plus vite, on veut que ça se déroule tranquillement sous nos yeux et on ne veut pas en louper une miette. Mes favoris sont toujours les mêmes (Davis, Janette et Ladonna) mais d'autres montent peu à peu dans mon estime (Terry ou Robert, qui grandit enfin un peu tout en restant le même) et finalement, Treme en automne, c'est pas une si mauvaise idée, car ça va me tenir chaud. 


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Battlestar Galactica [Saison 1]

Cet été, il n'y a pas que BILLY qui a changé ma vie. Il y a aussi Firefly. Mais comme c'est une expérience trop forte pour que je puisse trouver les mots justes, j'ai décidé de repousser mon hommage à la série de Whedon aux calendes grecques. Elle m'a en tout cas ouvert à la SF, un genre que j'avais toujours évité poliment jusque là. Babylon 5 me fait de l'oeil depuis la lecture d'un dossier génial dans le regretté magazine Génération Séries, Farscape m'appelle depuis que tout le monde en dit beaucoup de bien mais c'est à bord du Battlestar Galactica que j'ai embarqué pour continuer mon aventure dans l'espace. Et à l'image de Fred et Carrie dans Portlandia, j'ai d'abord été complètement scotché à mon écran par le téléfilm d'ouverture et le pilote. Trois heures de jouissance télévisuelle avec un pitch alléchant, des personnages déjà hauts en couleurs, un cast d'exception et un rythme à couper le souffle. J'étais déjà prêt à déclarer alliégeance à Adama et à tomber amoureux de Starbuck pour la vie, mais contrairement à Fred et Carrie, je n'ai pas enchaîne les quatre saisons en une semaine. Non, j'ai eu plus de mal à la suite. Parce qu'une fois passé le côté épique des débuts, on s'ennuie un peu. J'aime beaucoup la série lorsqu'elle parle de politique, de guerre, de relations humaines mais toute la partie plus ésotérique et toutes les grosses ficelles de cette première saison m'ont vraiment rébutés. Je ne crois pas pouvoir supporter Baltar plus longtemps. Vous aller probablement me convaincre qu'ensuite c'est mieux, et je vous crois. Mais pour l'instant, j'ai besoin d'une longue pause avant de retourner dans la flotte, malgré un cliffangher final qui m'a fait bondir. 


Ed [Saison 1]

Encore une fois, je dois remercier l'équipe d'EDUSA pour m'avoir fait découvrir cette série complètement méconnu, diffusée entre 2000 et 2004 sur NBC. Je m'étais toujours juré de la regarder quand à l'époque, je lisais les comptes-rendus. Mais j'avais repoussé jusqu'à aujourd'hui le moment où finalement, je me suis installé à Stuckeyville, trou perdu où un avocat refait sa vie, rachète une salle de bowling et tente de reconquérir son amour d'enfance. Tom Cavanagh (Scrubs) est parfait dans le rôle-titre, on retrouve un tas de gens biens (et une Julie Bowen déjà tête à claque mais qui ne gâche pas le plaisir pour autant) et une ambiance chaleureuse. Je n'ai vu qu'une poignée d'épisodes pour le moment mais je suis déjà conquis et j'ai lu tellement de choses merveilleuses au sujet d'Ed que je ne vais pas m'arrêter là. Il y a longtemps que j'aurais dû m'y mettre et je ne le regrette pas !

Frasier [Saison 7]

J'ai commencé mon intégrale Frasier il y a tout juste un an et ce ne fut que du bonheur jusqu'à présent. Après avoir revisité Seinfeld et NewsRadio, je suis désormais complètement dépendant d'une bonne vieille sitcom nineties avant d'aller me coucher, c'est devenu un rituel dont je ne peux plus me passer. Et comment se passer de Frasier quand les personnages sont aussi attachants, quand les épisodes sont toujours aussi bien écrits même après sept saisons et que l'atmosphère y est aussi confortable et chaleureuse. J'ai beau adoré les comédies plus modernes et plus aventureuses, j'aurais toujours beaucoup d'amour pour la sitcom traditionnelle, surtout lorsqu'elle est aussi bien faîte. Et même si Frasier n'est pas célèbre pour ses retournements de situations et ses changements, je dois avouer que cette saison fait avancer un tas d'intrigues, en particulier le fil rouge de la série jusque là : la relation entre Niles et Daphné, qui trouve sa résolution dans un season finale aussi prévisible que réussi. J'ai entendu dire que la série allait avoir du mal à se remettre de cette avancée, que les prochaines saisons ne seraient pas de la même qualité, mais il me semble inconcevable de dire au revoir à ces personnages, je vais désormais devoir les suivre jusqu'au bout. Même s'il faut pour cela supporter Anthony LaPaglia dans le rôle du frère lourdingue de Daphné. S'il faut retenir qu'une poignée d'épisodes de cette solide septième saison, je vous recommande "Back Talk", "Out With Dad" et "The Dark Side of the Moon". Si je n'ai toujours pas envie de dépasser le pilote de Boss, je me demande bien quand est-ce que David Hyde Pierce reviendra à la télévision...


Gilmore Girls [Saison 1]

"If you're out on the road / Feeling lonely and so cold"... Un automne où comme d'habitude, la mélancolie prend le dessus, où mes nombreux projets ne comblent pas pour autant une profonde solitude, un appartement vide et où il fait un peu froid, une succession de rhumes qui te paralysent... Un remède docteur ? Un ticket pour Star Hollows, sans retour. Depuis le temps qu'on me supplie de regarder. Depuis le temps que EDUSA, encore eux, en chante les louanges. Depuis le temps que Lauren Graham illumine mon écran dans Parenthood. Oh bien sûr, j'étais déjà tombé sur quelques épisodes de Gilmore Girls et à force d'en avoir entendu parler en long et en large, j'avais l'impression d'avoir déjà vu la série. Mais là, au vu des conditions météorologiques et personnelles, il est grand temps de me faire cette intégrale. Résultat : une saison entière avalée en une semaine au rythme de trois à quatre épisodes par soir et autant de chocolats chauds. Pour l'instant, c'est juste la série parfaite. Juste ce qu'il me faut de chaleur, de qualité d'écriture, de personnages attachants et de Lauren Graham. Et cette B.O. : The Cure, Wilco, The La's, Big Star, The Jayhawks, Mazzy Star, The Jesus & Mary Chain... Que demande le peuple ? Plus ça va, et plus je réalise que la source de mon bonheur se trouve au début des années 2000... 


Web Therapy [Saison 1]

Ce n'est pas aussi géniale que The Comeback, pas aussi chouette que Cougar Town, mais c'est tout de même plus drôle que Go On et comme je ne me suis toujours pas décidé à regarder Episodes, voilà la meilleur dose d'ex-Friends que l'on peut se procurer actuellement. Une ancienne web-série que Lisa Kudrow a refilé à Showtime et qui compte déjà deux saisons. La première raconte de manière assez originale le parcours d'une femme détestable qui tente de monter un système de fast-thérapie sur la toile. On retrouve donc une Kudrow parfaite dans le rôle de la femme détestable en question, mais aussi des gens comme Victor Garber, Courtney Cox, Jane Lynch, Rashida Jones, Lily Tomlin, Alan Cummings et Steven Webber. Rien que pour eux, ça vaut le coup de passer quelques problèmes de rythme et quelques redondances pour savourer ce truc unique. Surtout qu'il paraît que la seconde saison résoud rapidement ces problèmes et inclut encore plus de guest-stars savoureuses. Je vous en reparlerais. 


Revue de presse / Comme si j'avais pas assez parler d'eux, on commence par un petit tour du côté de pErDUSA où pas plus tard que l'été dernier, il y a eu de beaux articles sur Aaron Sorkin et sur E.R., autant vous dire des articles que j'aurais pu écrire (mais pas aussi bien, je vous l'accorde). Le A.V. Club s'impose toujours en cette rentrée comme le site incontournable, avec un beau retour sur la troisième saison de Louie (dont je vous parlerais d'ici la fin de l'année promis, quand je m'en serais remis) et des reviews très complètes de Firefly. L'amie Ladytelephagy et l'ami Whispertoascreen se sont récemment lancés le défi de visionner et chroniquer chaque nouveauté de la rentrée et c'est aussi une lecture incontournable pour éviter de regarder trop de médiocrité qui seront bien vite annulés. salue également ce blog bien fourni et ouvert récemment qui vaut le détour. 

Voilà, c'est tout pour la semaine et c'est déjà beaucoup. Plus que sept jours à attendre avant BILLY. Je compte sur vous pour partager l'info et je suis dispo si jamais vous voulez me poser quelques questions sur votre blog. Ou simplement en parler sans m'inviter, ce que je comprendrais aussi. Bref, vivement dimanche prochain !

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