Décidément, j'ai regardé beaucoup de séries cet été. J'ai rattrapé un retard considérable et j'en retire une certaine fierté. Ce fut surtout l'occasion de découvrir (après les autres) une petite merveille comme "It's Always Sunny in Philadelphia" et sa première saison de six épisodes diffusé en 2005 sur FX.
Le pilote, qui aurait coûté moins de 200 dollars à l'équipe, donne tout de suite le ton. On est dans une comédie entre potes, et on suit le quotidien d'une bande de loosers aux défauts aussi énormes qu'ils sont attachants. J'ai eu le plaisir de retrouver Glenn Howerton, que j'avais adoré lors de son bref passage dans la dixième saison d'Urgences, alors qu'il jouait un interne incroyablement cool. Les autres sont tout aussi géniaux, en particulier Charlie Day et sa voix qui déraille, et sa poisse sans fin. Il y a une réel alchimie, une très bonne dynamique installé en un temps record, et un humour qui varie entre l’enchaînement d'emmerdes très bien maitrisé et le provocateur bien dosé. L'image sale et le générique achèvent d'en faire une série unique en son genre et qu'on adore dès le premier épisode.
Vite la suite !
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