Le meilleur épisode de la saison. Et le début de la fin. Bien que j'espère toujours que la série obtiendra une deuxième saison, elle vient d'atteindre un point de non-retour.
L'épisode commence avec l'habituelle paranoïa, les habituelles recherches sur Atlas d'un côté, sur Kateb de l'autre. La révélation de Grant sur l'identité du terroriste sonnait un peu invraisemblable, comme si ce genre de trouvailles aurait du être révélé il y a bien longtemps. Et Maggie ne servait à rien. Mais c'est le seul bémol de l'épisode. À partir des adieux de Spangler à Will, tout s’accélère. Truxton a mis à mort le jeune analyste et sa dernière visite est terriblement belle, aussi bien au niveau de la réalisation que du jeu d'acteurs. La lutte acharnée de survie ne sonne jamais fausse et m'a laissé bouche bée jusqu'au coup de feu. Et juste au moment où Kale commençait à me manquer, il intervient pour la scène la plus géniale de la série, celle du nettoyage. J'aime beaucoup la relation qu'il entretient avec Will. De son côté, Katherine découvre la vérité sur Atlas, les adorables Miles et Julia découvrent que Kateb vient de débarquer aux Etats-Unis pour menacer tout le pays, Grant manque d'obtenir une promotion et l'épisode se termine sur une scène bouleversante. La jolie voisine se fait claquer la porte au nez par un Will traumatisé. Et j'en avais presque les larmes aux yeux.
L'apothéose de Rubicon qui devrait durer, si tout va bien, jusqu'à la dernière minute du dernier épisode.
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